Bruxelles,
les boules de l'atomim en réparation. Ces photos n'ont pas le droit d'exister. Pour les présenter, je dois payer des droits faramineux et abusifs à la Sabam. Si vous souhaitez les publier, vous devez les contacter, ou je dois les contacter, pour le paiement des droits. Le comportement de la Sabam à propos de l'Atomium est scandaleux. Nous sommes au courant de leurs agissements et cela provoque une profonde révolte. Ils poursuivent autant que possible dans une action de grande envergure tout photographe, y compris ceux qui font ça juste pour le plaisir, sans but lucratif. Or, cet édifice a été rénové avec des deniers publics, donc NOS impôts, même si nous n'étions PAS d'accord. De ce fait, il est bien entendu hors de question de payer une quelconque amende. C'est vraiment un état d'injustice et ce problème de l'Atomium en est l'écueil le plus criant. Effectivement, il est impossible de mesurer tout ce qui est interdit : photographes, nous sommes donc confrontés au problème que dix mille procès nous pendent au nez. Pour ma part, je maintiens mes photos de l'Atomium. Je n'accepte pas de payer une quelconque amende pour les raisons précitées. Je me refuse à céder à tant de connerie libéraliste digne de l'obscurantisme moyenâgeux. Comme je veux présenter "tout Bruxelles", il est hors de question que j'en retire une part sous prétexte que des impérialistes veulent renflouer leurs caisses sur le dos du contribuable, et même si je n'aime pas cet endroit. S'ils cherchent à se faire une réputation de pourris et s'ils veulent couler leur business, libre à eux. Ont-ils contacté Google Earth ? Il faudrait le retirer des images satellites. |
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Vincent Tchorski / Court Saint Etienne, Juillet 2005
PHOTOS TCHORSKI