Être asexuel ou subir une abstinence de longue durée, suis-je une solution agréable pour toi ?
Ta vie est comme un moment d’auto-stop quand il pleut, tu avais besoin et je suis là.
Dans la page principale, je me présente en général. Ici plus précisément, je parle du fait d'être asexuel (c'est un choix) et le fait d'être abstinent sexuel en le subissant. J'évoque les possibilités qu'en tant qu'escort boy en Ardèche, je puisse amener des pistes de solutions pour toi, vers une vie meilleure.
Quelle est la différence entre le fait d’être asexuel et d’être en période d’abstinence ?
Être asexuel, c'est le fait de ne pas ressentir d'attirance sexuelle envers autrui. Un témoignage précise : Nous les asexuels, on est attirés par personne, mais ça n'empêche pas une grande partie des asexuels d'avoir de la libido, d'avoir des fantasmes, de pratiquer la masturbation.
L’abstinence, c’est de vivre une absence de relation alors qu’on souhaiterait bien en avoir. Mais pas n’importe quoi, avec n’importe qui, et n’importe comment.
Il est possible de s'adapter partiellement à l'absence de relations sexuelles lorsqu'on n'est pas asexuel, mais ce n'est jamais la même chose qu'une absence de désir ; la solitude sexuelle imposée, vécue sans choix, expose souvent à la frustration et à divers risques psychologiques.
Ce que je rêve pour toi, c'est cette ambiance.
De me rencontrer, est-ce une solution pour toi ? Etant donné que j’offre la possibilité (voire même, je souhaite) un long terme, tout est possible, et plutôt oui.
Si l'abstinence est acceptée et vécue de manière consciente, certains parviennent à transformer cette absence en une période de ressourcement, voire en un espace pour réfléchir sur soi, renouer avec d'autres routines positives (sports, créativité, activités sociales). Les stratégies personnelles pour gérer la solitude incluent l'investissement dans des loisirs, le maintien du contact avec son corps (activité physique, massages), ou la recherche de liens sociaux pour éviter l'isolement émotionnel. La méditation et l'action concrète aident également à mieux apprivoiser la solitude non désirée.
Quand l'absence de sexualité est subie et non choisie, elle peut entraîner des effets négatifs : frustration, irritabilité, baisse de confiance en soi, voire déprime ou dépression. Des symptômes psychosomatiques peuvent apparaître, comme des douleurs ou des troubles corporels liés à un manque de sollicitation sexuelle. Plus l'abstinence forcée dure, plus la reprise d'une vie sexuelle demande patience et adaptation. Chez beaucoup, la solitude sexuelle réveille aussi le sentiment d'exclusion ou de stigmate, accentué par la pression sociale.
L’abstinence vécue par une personne désirante n’est pas comparable à l’asexualité réelle : une personne abstinente souhaite avoir une vie sexuelle, mais n’a pas de partenaire ou de possibilité, ce qui génère souvent une tension intérieure. Tandis que l’asexualité est une absence d’attirance sexuelle pour autrui, vécue le plus souvent sans souffrance propre au manque.
Face à la solitude sexuelle subie, l’adaptation positive reste possible, mais il faut mobiliser tes ressources créatives, affectives et sociales pour que cette période ne devienne pas une souffrance profonde. Ce que je propose est une rencontre tellement positive qu’il n’en ressort pas une idée de saleté. Déjà d’office, tu sais - sur le principe - que je ne rencontre personne, car je suis dans un créneau peu voire pas demandé : la tendresse et la douceur.
Une solitude qui pèse, des indices vers un escort boy ?
Réfléchis sur toi. Vis-tu ces sentiments ? La solitude est subie quand elle découle d’un manque non désiré de relations ou d'intimité. Elle se manifeste par le sentiment d’être isolé, la frustration, le manque affectif et social, ainsi que la sensation désagréable que personne n’est réellement disponible ou attentif. Cette solitude peut s’imposer suite à des aléas extérieurs : absence de partenaires, difficultés à se socialiser, rupture, ou rejet. Elle s’accompagne souvent d’une souffrance psychique, d’une perte de confiance en toi, et d’un repli sur toi.
La solitude subie s’accompagne d’un désir latent de contacts ou d’intimité, et d’une impression de manque. Vis-tu un désir de rencontrer quelqu’un ? Ta situation, c’est avant tout te demander si le silence et le vide sont supportés ou subis, et si tu te sens libre ou enfermée dans ton isolement
Penses-tu pouvoir m’en parler ? Prépare ton contexte, choisis un moment calme, propice à l'échange, où tu te sens détendue et disponible. Dis-toi qu’il n’existe aucune urgence. On se verra quand ça t’arrange, je ne suis pas pressé.
Utilise des phrases très directes, qui expriment tes sentiments : « je ressens », « j’ai besoin de ».
Le chemin mène-t-il vers moi ?
Je te recommande de vraiment peu remettre à plus tard de m’écrire lorsque ta solitude ou ton manque entraînent une souffrance importante, une détresse psychique, ou perturbe fortement ton bien-être émotionnel et ta qualité de vie. Tu auras tendance à reporter. N’hésite pas à écrire, puisque de tout le long, ça ne t’engagera à rien et seuls tes choix comptent.
Ta frustration et ta solitude deviennent persistantes en toi (des années ?) et génèrent de l’angoisse, de la tristesse, ou un sentiment de blocage durable ? Le manque d’intimité sexuelle te conduit à une baisse de confiance en toi, des troubles du sommeil ou de l’appétit, ou une perte de goût pour les activités ?
En cas d’abstinence non désirée, si la solitude devient source de souffrance profonde ou de repli, je peux éventuellement t’accompagner pour restaurer une image corporelle et relationnelle positive. Il reste que c’est très intime, ça prend du temps, et l’écoute de tes souhaits et désirs est immensément prioritaire.
Une abstinence prolongée peut créer une tension, une frustration, ou un manque qui n'est pas uniquement physique, mais aussi émotionnel. Tu dois le vivre quelque part tous les jours, même de manière inconsciente dès que tu sors. D’ailleurs au bout d’un moment, tu te sens obligée de sortir, tu ne le veux même plus. Me rencontrer permet de répondre à ces besoins dans la bienveillance, ce qui peut être très libérateur.
L'absence de pression est essentielle. Je ne suis pas professionnel. Cela signifie que la rencontre est centrée sur tes plaisirs et tes désirs. L'absence de pression liée à « la performance, le souci de plaire », que l'on pourrait ressentir avec un nouveau partenaire amoureux, peut en faire une expérience très relaxante et agréable.
Je suis là pour toi et quelque part, ça libère d’un poids. En fin de compte je suis là pour te chouchouter et je trouve que c’est un projet agréable !
Qui suis-je et comment me rencontrer ?
Je m’appelle Vincent. Je mesure 1m70 et je suis mince.
Français, je ne fume pas et ne bois pas.
100% hétéro, je ne reçois pas de personne masculine.
Je suis localisé en Ardèche sud, à proximité de Joyeuse.
Je reçois à la maison, ici tout est simple et paisible. Je peux aussi me déplacer. Que je te reçoive ici peut s’avérer un peu stressant, mais honnêtement le projet, c’est que tu te sentes chez toi. Le but n’est pas le nombre. Si c’est seulement toi, c’est tellement bien !
Ici, une photo où l’on voit mon visage
Ici, des photos de nu artistique, réservé +18 ans
Mon e-mail : vincentcalins@gmail.com
A partir du moment où la confiance s’instaure, le téléphone est tout à fait possible.
Tu as besoin d’être chouchoutée, tu as l’adresse !
