Tchorski
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La mine de l'opéra (2/7)



Dans la galerie vers l'assèchement, j'en ai profité que les autres dormaient pour faire des photos.


H2S en train de s'armer de ses célèbres tongues 4x4 avec résistance universelle.


Avec ce type-là, c'est tout un mythe qui s'écroule : celui de la Lorraine glauque et glaciale. Il fait bon y vivre, on s'apprête pour un grand repas rempli de convivialité. C'est un peu mondain il faut quand même le dire.


Les Astres tentent de rejoindre Morphée...


...tandis que François est presque mort.


Un ancien transformateur peu avant d'arriver dans la galerie d'assèchement.
Ici, on est toujours dans la mine noire, la mine de l'Opéra est bien plus loin.


Un détail du transformateur. François voulait surtout y montrer l'état de corrosion des fusibles.


Voici le monument commémoratif, dédié à la mémoire des fameux John Terrin et Henry Pathé. C'est un mur de cinq mètres de long pour deux de haut. Il est constitué d'encastrements de boîtes de conserve (pâté, sardines...) et de couvertures de boîtes de camembert.


Ici, c'est normal que la photo soit blanche. C'est dans cette galerie qu'une partie de rivière s'enfuit en étage inférieur dans un bruit pas possible. Ca produit un brouillard important. En bas, la galerie est vraiment tout sauf accueillante, ça pissouille de partout, c'est plutôt trash comme aspect.


La traditionnelle photo de l'anti-bélier.


Les Astres juste après le baquage (on baque sur un kilomètre, bonheur intense).


François use d'un stratagème pour se réchauffer les petits petons (copyright Amm).

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