Les entrées du four. Pour la cuisson, elles étaient maçonnées.
Autre détail sur une merveilleuse charpente.
La base de la première cheminée. On voit bien le cheminement par
rails des berlines.
Les étagères de séchage, ce sont des wagonnets équipés
de clayettes.
Gâche de porte.
Jeux d'ombres et de superbe lumière.
Une chaudière de secours, au cas où le feu s'éteignait. Ca
permettait de pulser l'air chaud en cas d'urgence.
La toiture est très belle, quoi de plus étonnant pour une tuilerie...
Un aéro-condenseur.
L'intérieur d'un four tunnel.
Au dessus des fours, un vaste espace qui servait au versage du charbon.
Les entonnoirs qui permettaient de doser le charbon.
Le
charbon.
Il
est millimétrique !
Un système de registres métalliques permettait de réguler
le tirage des fumées.
La brouette est laissée là depuis longtemps, il ne manque que l'ouvrier...
Un trou pour l'insertion de charbon. L'objet métallique est un capuchon.
Un aérocondenseur. Cet appareil servait - apparemment, ou plutôt
probablement - à sécher des briques pas encore cuites, avant insertion
dans le four. L'appareil aurait eu une prise d'air dans le four, l'air chaud aurait
été pulsé dans un tunnel de séchage, lequel existe
certainement puisque mentionné sur un plan d'époque.
Poulie d'entraînement.
Toujours des étagères de séchage.