Sa
signature, à l'atelier de Chênée.
Médaillon.
Divers
petites cloches à main, une clarine et un diapason. Le diapason servait
à mesurer les harmoniques, et éventuellement, décider d'effectuer
des corrections mineures par alésage.
La
fosse. Les encoches servaient à inclure des planches en bois, pour réduire
la dimension de la
fosse et ainsi, le volume de terres à mettre en
oeuvre.
Les
pilons, qui servent à tasser l'intérieur du noyau. Le vrai nom est
le damoir. On s'en servait
aussi pour tasser la terre, dans la fosse des plus
petites cloches, ou dans le caisson.
Lors
de la première fonte du bourdon de Maredsous (Marie Causard & Georges
1er Slégers), la terre s'est ouverte sous la pression, le métal
en fusion s'est écoulé dans la cave lors de la coulée, à
cause du poids de métal mis en oeuvre. Ce fut un évènement
extrêmement grave, qui a réduit à néant plusieurs mois
de travail. En plus du danger que constituait cet accident, les dégradations
à la fonderie, il a fallu récupérer tout le métal
dans la cave... Une véritable catastrophe, qui a inévitablement
miné le moral du fondeur durant des mois. Heureusement, une coulée
ultérieure fut réussie.
Un
godet de coulée, pour de plus petites cloches.
Le
vrai nom de cet objet est le creuset.
Le pont roulant n°1
Sans
les lumières, on peut ne pas le voir...
C'est
un des rares ponts roulants en bois.
Les
roues font penser à des berlines.
Vue
d'ensemble.