Tchorski
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La fonderie Causard-Slégers (4/9)





Sa signature, à l'atelier de Chênée.


Médaillon.


Divers petites cloches à main, une clarine et un diapason. Le diapason servait à mesurer les harmoniques, et éventuellement, décider d'effectuer des corrections mineures par alésage.


La fosse. Les encoches servaient à inclure des planches en bois, pour réduire la dimension de la
fosse et ainsi, le volume de terres à mettre en oeuvre.


Les pilons, qui servent à tasser l'intérieur du noyau. Le vrai nom est le damoir. On s'en servait
aussi pour tasser la terre, dans la fosse des plus petites cloches, ou dans le caisson.


Lors de la première fonte du bourdon de Maredsous (Marie Causard & Georges 1er Slégers), la terre s'est ouverte sous la pression, le métal en fusion s'est écoulé dans la cave lors de la coulée, à cause du poids de métal mis en oeuvre. Ce fut un évènement extrêmement grave, qui a réduit à néant plusieurs mois de travail. En plus du danger que constituait cet accident, les dégradations à la fonderie, il a fallu récupérer tout le métal dans la cave... Une véritable catastrophe, qui a inévitablement miné le moral du fondeur durant des mois. Heureusement, une coulée ultérieure fut réussie.


Un godet de coulée, pour de plus petites cloches.


Le vrai nom de cet objet est le creuset.

Le pont roulant n°1


Sans les lumières, on peut ne pas le voir...


C'est un des rares ponts roulants en bois.


Les roues font penser à des berlines.


Vue d'ensemble.

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