Le
volant. Le système de chaînage est très particulier, nous
y reviendrons ensuite.
On
voit qu'il n'y a eu quasiment aucun accordage, uniquement un petit tournage sur
une harmonique au cerveau (la quinte).
La
deuxième cloche.
Comme
c'est en lancer franc, la chasse du battant est très longue. Ce type d'installation
est
très répandu en Allemagne.
Sainte-Marie.
La
partie arrière.
Là
encore, on retrouve le blason des Grassmayr.
Le
parrainage.
La
troisième cloche que nous visitons. La plus grave est celle-ci.
La
bouche.
La
dédicace. Au contraire des cloches belges, il y a un angle sur la partie
extérieure de la pince, tandis que l'intérieur est oblongue. En
Belgique c'est l'inverse, l'arête se trouve dans la partie intérieure.
Il existe quelques différences de profil, qui sont mineures.
Saint-Jean
Népomucène. C'est un saint allemand.
Il
est le saint-patron des bateliers et des prêtres.
Le
volant. La première chose qu'on remarque c'est qu'il n'y a pas de chaîne,
et le câble qui la remplace
bute sur un arrêtoir.
Cet
ingénieux système a deux avantages : la chaîne ne fait pas
de bruit de roulement durant la volée, ce qui est beaucoup plus agréable
; l'arrêtoir permet d'éviter les déraillements, car l'ensemble
est bien tendu et câlé. Ce type d'installation devrait être
installé systématiquement ! Cela permet en outre d'éviter
l'installation d'un couteux système de volée linéaire, tout
en ayant de nombreux avantages... Ingénieux.
Nous
allons grimper dans la flèche.
Cela
permet de voir les cloches de plus haut.