Tchorski
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La fonderie de cloches Grassmayr (25/25)

 


Détail très petit. C'est soigné jusqu'au bout.


La cruche d'onction.


Alors là par contre, une cloche pas du tout soignée !


L'épigraphie est désastreuse.


Angelot aux grosses joues.


Médaillon mal imprimé. La cause, un métal trop froid qui n'a pas épousé la forme ? Ou bien une terre
qui n'a pas pris l'empreinte de la cire. Possible...


Pourtant la date est très claire...


Ceci c'est une cloche en acier, d'où son aspect.


Et celle-ci, sous réserves, serait bien en aluminium. Elle sonne curieusement aigu pour une cloche de cette dimension, ce qui me fait soupçonner un autre matériau, ce d'autant plus que la couleur tend à laisser penser à de l'alu.


Une petite cloche assez sobre.


Voyez-vous les angelots aux pieds ?


C'est ce qu'on appelle une cloche à tête plate.


Cette cloche italienne date de 1922, nous en avons déjà vu une assez similaire.


A fulgure et tempestate, libera nos, Domine. Cela signifie : de la foudre et de la tempête, seigneur libère nous. C'est ce qu'on pourrait appeler une stormklok en Belgique, une cloche d'orage en France. Ces instruments étaient, selon la superstition, censés écarter les orages lorsqu'elles étaient battues à pleine volée.


Les armoiries pontificales sont les mêmes.


Pour terminer, une cloche Grassmayr assez originale.


Elle possède une épigraphie russe et une décoration orthodoxe.


Soli Deo Gloria seront les derniers mots.

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