Les plaquages sont assez nombreux.
Certains possèdent des gigots, c'est-à-dire des blocs
uniquement tenus d'un ancrage déglingué. Je me
suis mis sur cette image de manière à donner la dimension
du carnage. Bien que ça paraisse
dangereux, je suis en réalité à distance du bloc,
le fait que je le porte est une illusion due à la
photo. Un tel bloc pèse bien ses 500 kilogrammes.
Un ancien trolley était présent en cet endroit. Le pantographe
projetait des gouttes d'eau légèrement
chargées de cuivre, d'où la trace.
Vers le fond du Coulmy, c'est le noyage.
A proximité se trouve un puits d'un aspect magnifique.
Quelle beauté cette eau !
Notre guide estime qu'il s'agit uniquement d'un sondage en vue d'évaluer
la minette présente.
Un autre plaquage, non moins impressionnant.
Il vaut mieux ne pas se trouver en dessous !
L'ancienne cantine des mineurs. C'est malheureusement dégradé
(et objet de vandalisme).
Le site dans son entièreté.
Dans le roulage qui mène à l'entrée d'Halanzy,
c'est aujourd'hui un joli désastre.
L'entrée d'Halanzy. Derrière, c'est la porte à
chiroptères.
Cette longue galerie de travers-banc est de dimension restreinte.
Elle traverse le massif sur plus ou moins 500 mètres.
A côté se trouve une ancienne galerie de captage d'eau,
qui fut un temps a servi de sortie de
secours pour la mine.
Une belle arche se trouve à mi-parcours.
L'aspect est globalement invariable, si ce n'est qu'on devine ici les
traces des anciennes traverses.
La fin de ce travers-banc est ici.
Dans les quartiers modernes d'Halanzy, le vestige de la poudrière.
La porte de la poudrière.
A la sortie Warnimont, la signature d'un ouvrier mineur : Arthur Bodart.