Le comble. Il n'est manifestement plus du tout d'origine, car ce sont
des voiles béton très fins.
Vue vers la Fagne et vers La Gleize.
Du clocher, la vue porte jusqu'au mont Saint-Victor.
La cuisine.
De rares éléments ne sont pas encore arrachés.
Désolation, ce qui en quelque sorte évoque un rappel
de ce macabre bâtiment.
Partons de la cuisine.
Du coup nous voici dans la salle à manger.
Tuyaux artistiques en cave.
L'extrémité est des locaux, apparemment formée
sur deux rajoutes en béton armé, est destinée
à une occupation administrative. Le travail architectural a
été mené avec soin et ces rajoutes ne dénaturent
pas le site, au contraire de la grosse balafre orange à l'extrémité
ouest du bâtiment.
Sur la face nord, tristesse et abandon.
Des combles en face sud, on voit bien la terrasse.
L'extrémité ouest. Un ruisseau y coule.
Un brin de mélancolie et de monotonie.
Un dernier regard et il est temps de partir.
Le soleil se lève paisiblement sur le grand bâtiment.
On ne saurait nier qu'il y a une légère inspiration
allemande, ce qui somme toute pour un sanatorium est chose logique
en pays spadois.
Vue d'ensemble depuis la cour.
Au lever du soleil, un déluge d'oiseaux chante. Il ne faut
que quelques instants pour que cela s'estompe. Vite ils vont chercher
des vers afin de nourrir les nichées, toutes situées
juste au-dessus de la terrasse.
Quel sera le destin de ce bâtiment, nul ne peut le dire ; l'avenir
ne parait pas rassurant à ce jour.
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