De très curieux champignons dorés, que je n'ai pu identifier.
La profusion de racines provoque une ambiance un peu inquiétante.
Les arthropodes de toute sorte sont heureux d'y trouver un logis de
qualité.
Et puis, après ce fameux parcours, nous voici à la sortie.
L'aqueduc passe sous cette butte de terrain, nommée 'entre
les deux rigoles'.
Au rond-point de l'Artoire, tout laisse à penser que ces bornes
implantent le tunnel. En effet on les trouve éparpillées
sur tout le parcours en surface.
Le cheminement est en grande partie similaire à cet aspect,
une voie herbeuse entre les arbres. Ici c'est à hauteur de
'La Pièce du Petit Pavé'. L'aqueduc est sous l'herbe.
Vers 'Les Cinq-Cents Arpents', l'aqueduc croise cette piste.
Ensuite, entre la rue d'Artoire et la rue d'Auffargis, c'est sous
le gazon de ce parc.
Les regards se voient très peu, mais sont tous présents
de la sorte, soit dans le gazon, soit dans de petits bosquets d'arbres.
Jamais en cheminée.
Les eaux proviennent de l'étang de Saint-Hubert, qui est artificiel.
Lieu de promenade et de villégiature, il est bucolique et donne
du charme à cette vaste banlieue parisienne.
La vanne, nivelant les eaux de l'étang.
L'aqueduc de l'Artoire dans sa partie au jour. C'est l'emplacement
le plus connu et en réalité, tout un chacun a la conviction
que l'aqueduc se limite à ceci. Cependant ce furent des travaux
établis entre 1675 et 1685.
L'Artoire, suite, vers la vanne.
L'aqueduc de Vieille Eglise, alimenté par le Ru des Vaux, magnifique
avec ses lentilles d'eau.
En direction de l'aqueduc du Perray.
Aux couleurs des herbes de Saint-Jacques et des lentilles d'eau, une
belle visite qui s'achève.