En plein milieu du site se trouve un imposant château d'eau.
Il est bordé d'aéro-réfrigérants qui permettaient
de refroidir l'eau utilisée au refroidissement des cylindres.
Les tuyaux permettant le circuit d'eau, c'est très beau.
A l'intérieur, une salle de pompes.
Bien que ça soit classique, c'est toujours aussi beau.
Le bâtiment transfo compresseurs, fermé lors de notre
passage.
Dans les bureaux se trouvent des souvenirs. Ici un Saint-Eloi en bois,
patron des métallurgistes, et à droite un montage en
bois qui représente la presse 4000 tonnes.
Au sein des locaux, tout est resté en place. Malgré
le vandalisme, cela témoigne de ce que ce fut. Bien des cadres
reconnaitraient encore.
Le bureau des ressources humaines.
Une fois encore, nous allons quitter les lieux et aborder un tout
autre aspect.
Il s'agit de la vaste halle de transformation électrique.
Les logettes sont alignées à l'infini.
Tout y est encore présent, sauf les jeux de barre on s'en doute.
Les roumains doivent vraiment se poser la question de pourquoi on
laisse tout cela comme ça. Mais en fait, nous nous posons la
question aussi. Ca laisse le sentiment d'un énorme gâchis.
Les marbres sont indiqués à l'ancienne. C'est beau comme
tout.
Voilà bel et bien un endroit qui aurait mérité
d'être préservé,
mais le seul destin est celui des godets des pelleteuses.
Les tableaux sont extrêmement beaux.
Bien que ce soit plongé dans l'ombre, c'est un régal
pour la vue.
C'est d'ailleurs avec force de détail.
Le secteur Westinghouse. Si auparavant nous étions dans le
matériel Alstom, c'est ici le matériel de la firme Westinghouse
Electric Company.
Les postes de commande électrique de l'aciérie.
L'adieu à l'usine, tous les leviers sont à l'arrêt.
Le polissage des cylindres.
Une dernière vue générale, avant de partir.
La reconversion du site sera longue mais à présent,
une entreprise de métallerie occupe déjà le site.