De l'autre côté, le moins qu'on puisse dire est que ça
devient spectaculaire.
Les murs, fameusement hauts, sont posés sur le toit, afin de
gagner en stabilité. Mission accomplie, puisque depuis ces
temps immémoriaux, rien n'a bougé.
Oh, si le chemin à suivre c'est en dessous, ça va s'annoncer
scabreux !
Tout au fond de la galerie de roulage.
A un autre niveau, encore, on trouve un paysage identique. Cependant
c'est loin d'être lassant au vu de la beauté indéniable
de ces travaux de fourmi.
C'est un peu aventureux, donc ce fut conforté.
Une vaste chambre d'exploitation. Mazette quel volume !
De l'autre côté ça s'étend bien aussi.
Quelle taille pour une ardoisière... Ce qu'ils ont exploité
leur a bien plu !
La galerie de jonction, assez extraordinaire. On y voit donc le principe
du triangle, ça repose sur le toit et permet de stabiliser
l'ensemble.
Près d'une descenderie assurant la jonction entre deux niveaux,
un bar a été monté.
La descenderie. Bien qu'impressionnante, elle a subi un peu de dégradation.
C'est un escalier pentu, qui devait permettre aux ouvriers de rejoindre
leur chantier.
Vue d'ensemble de la descenderie.
Le pont qui surplombe le plan incliné, et permet de rejoindre
quelques autres vieux chantiers.
Un curieux et joli portail ferme l'accès à des vieux
travaux un peu subalternes.
Le niveau du bas, conséquemment noyé. Le paysage souterrain
est de toute beauté.
L'ardoisière 6
Elle s'ouvre dans un coteau déforesté. Une chapelle
surplombe l'ardoisière.
L'ouvrage est voué à Sainte-Barbe.
L'entrée de l'ardoisière. C'est une descenderie ne possédant
pas le moindre soupçon d'intérêt.
A côté se trouve une descenderie similaire, noyée
au bout de peu de mètres.