Tchorski
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La cokerie de Seraing (20/20)


La particularité de cette centrale est d'avoir un aspect totalement invariable.


Les coudes d'un panneau.


Une vanne d'arrêt (elle fonctionnait encore, même après tout ce temps !)


Encore un étage au-dessus.


Ces ailettes sont soumises à des pressions importantes du fait de la dilatation des tubes et des pièces métalliques sous l'effet des variations de température.


Sur la porte d'un fourneau, la société anonyme John Cockerill.


Encore un sorbier ! Décidément c'est leur coin.


Un tableau électrique en ruine.


Pourquoi ce coude est démonté, mystère. On voit que plusieurs ailettes ont subi de grandes pressions, elles ont fait l'objet de soudures afin de maintenir la chaudière en ordre de marche.


Colonne de fumées brûlantes : ouvert / fermé.


Au sommet de l'usine, on trouve comme à Marchienne de grosses conduites.


Cela pourrait être les arrivées d'air, réchauffées avant injection.


Accès impossible, trop dangereux.


L'ensemble de la partie sommitale de l'usine, avec les corps de chauffe des arrivées d'air.


Et toujours cette estampille John Cockerill.


Derrière les fours, une vue sur le château d'eau.


A gauche le magasin à sulfates et derrière, le bâtiment du débenzolage.


La tour de l'incinérateur.


Le secteur stripping des eaux ammoniacales.


La tour à charbon.


Les condenseurs primaires.


Nous voici à la fin de ce documentaire, peu à peu du travail nous allons rejoindre l'arrêt.


Nous repartirons par le dédale de chaudières, sans nous perdre car désormais l'usine est un mieux connue.


Et nous quittons ces lieux les yeux remplis d'émerveillement.

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