La particularité de cette centrale est d'avoir un aspect totalement
invariable.
Les coudes d'un panneau.
Une vanne d'arrêt (elle fonctionnait encore, même après
tout ce temps !)
Encore un étage au-dessus.
Ces ailettes sont soumises à des pressions importantes du fait
de la dilatation des tubes et des pièces métalliques
sous l'effet des variations de température.
Sur la porte d'un fourneau, la société anonyme John
Cockerill.
Encore un sorbier ! Décidément c'est leur coin.
Un tableau électrique en ruine.
Pourquoi ce coude est démonté, mystère. On voit
que plusieurs ailettes ont subi de grandes pressions, elles ont fait
l'objet de soudures afin de maintenir la chaudière en ordre
de marche.
Colonne de fumées brûlantes : ouvert / fermé.
Au sommet de l'usine, on trouve comme à Marchienne de grosses
conduites.
Cela pourrait être les arrivées d'air, réchauffées
avant injection.
Accès impossible, trop dangereux.
L'ensemble de la partie sommitale de l'usine, avec les corps de chauffe
des arrivées d'air.
Et toujours cette estampille John Cockerill.
Derrière les fours, une vue sur le château d'eau.
A gauche le magasin à sulfates et derrière, le bâtiment
du débenzolage.
La tour de l'incinérateur.
Le secteur stripping des eaux ammoniacales.
La tour à charbon.
Les condenseurs primaires.
Nous voici à la fin de ce documentaire, peu à peu du
travail nous allons rejoindre l'arrêt.
Nous repartirons par le dédale de chaudières, sans nous
perdre car désormais l'usine est un mieux connue.
Et nous quittons ces lieux les yeux remplis d'émerveillement.