Voici les arabes. Il y en a plein.
Ce sont des empilages Raschig. Avec amusement, je les ai appelées les Rachid.
Ce sont de petits anneaux en céramique placés à l'intérieur
des colonnes. Cela permet de maximiser la surface de contact. Dans la colonne,
il y a le liquide qui tombe et le gaz qui monte. Sans ces anneaux, ça fait
plouf et c'est terminé. Avec les anneaux, le liquide et le gaz doivent
se frayer un passage. Ca multiplie les occasions de contact.
Le bâtiment des arabes.
Au sommet du pont, un mini-moteur permettant de déplacer de petites charges.
Encore un moteur moucheron.
Le secteur des bleus.
Juste au dessus de ce hall, des cakes bleus sentant épouvantablement mauvais.
Aucune idée de ce que ça peut être.
Le sol en est tout maculé. La dépollution se fera probablement sur
plusieurs mètres de profondeur.
Jeux de reflets.
Dans un des grands hangars, une bâche propose une carte du monde tout à
fait étrange.
Les rayons du soleil qui filtrent à travers l'atmosphère légèrement
embrumée.
Et plus tard dans la soirée, les rayons de soleil ont changé d'inclinaison.
Le reste d'un passage de convoyeur à bande, à moitié démantelé.