Dans
les galeries de roulage de Saint-Brice, des traces d'une ancienne voie ferrée.
Une
plaque tournante. Il n'en reste que le socle, complètement pourri. C'est
ce qui permettait de tourner les berlines à un angle de 90 degrés
sur un croisement de rails.
Le
mur d'ardoises est tout simplement magnifique.
Au-dessus, c'est une ancienne chambre, à l'aspect dévasté.
Il faut dire aussi que la plus grande part de ces pierres sont des
remblais. Quasiment nulle part, ces ardoisières étaient
en mauvais état.
Les
murs d'ardoises sont omniprésents dans ce secteur, un des bouts de l'ardoisière
Saint-Brice. Au fond, c'est une petite réserve d'eau, qui débouche
rapidement sur la fin de l'exploitation.
Dans
certains endroits, on circule au milieu des murs d'ardoises sur de sacrées
distances.
En contrebas d'un puits. Nous avons supposé que c'était
celui du Posson.
Le
puits en question, d'une très jolie taille.
Dans
une chambre d'exploitation.
François
est devant le probable dernier front de taille de ce chantier.
Il
montre un trou de mine.
Tandis
que sur la paroi toute entière, on voit bien le patchwork des différentes
techniques de taille dans les schistes stériles, appelés quartzites
dans ce lieu.
Un
joli trou de mine, dans le banc d'ardoise.