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La mine de sel de Varangéville (5/6)

Vers le puits


Le bougnou, la galerie qui part sous le puits. Ca permet de nettoyer le bas du puits, afin qu'il ne
se rebouche pas, peu à peu, avec toutes les fines du skip qui tombent à la remontée.
Comme c'est un lieu dangereux, seul du personnel habilité peut y aller.


La locomotive. Elle fait partie d'un petit aménagement musée.
C'est ce qui était utilisé au début de l'exploitation du sel à Varangéville.


On voit bien la pince à purger, ce qui servait à l'époque pour purger le ciel.


Les traces au mur montrent bien que ça a été exploité manuellement.


Le retour vers le puits.


La Sainte-Barbe, patronne des mineurs.


Dernier paysage avant de remonter...

A la surface, l'atelier jour


Une voiture. Dans le puits, le seul volume qui peut passer est ce qui tient sur une palette. Ainsi, on voit comment le véhicule a été calibré pour pouvoir descendre... Il en est de même pour les camions, les chargeurs, les jumbos, les purgeuses, etc. C'est dire la difficulté à laquelle ils sont confrontés au quotidien. Pour descendre un pneu de CTX, ils sont donc obligés de le comprimer...


Le boîtier des explosifs.


Le tableau des présences surface et fond. Chacun a sa médaille. Lorsqu'un mineur descend, il change la médaille de place. En cas d'accident, ça permet de savoir qui est au fond ou au jour.


La réserve des Oldham. Ce sont les lampes des mineurs.


L'installation de treuillage de la cage.


La recette Jour.


Le chevalement est emballé dans un bâtiment, ce qui le rend bien difficile à voir. Ca permet de le protéger des mauvaises conditions climatiques. Peut-être que je fabule (?), c'est peut-être aussi pour protéger les armatures du sel. Sans eau, le sel attaque nettement moins les poutres...

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