Jouy,
la marnière La Buissière
Située à quelques
pas du passage de Saussay. Propriété privée, chien ! Contacter
l'agriculteur, qui ouvre sur demande. C'est une petite marnière en bon
état, d'une galerie et des diverticules très réguliers. On
y trouve de manière exceptionnelle une belle charrette tombereau presque
entière (ne pas la toucher, elle tient par magie). On trouve aussi des
vestiges de licols de chevaux, dont certains sont irrémédiablement
pourris (le cuir est devenu poussière), trois sont encore entiers. Ne pas
les manipuler, ils sont presque poussière. Ne touchez pas au matériel
agricole, ce patrimoine et très fragile et il témoigne avec beauté
et authenticité du labeur agricole d'autrefois.
Cette
charrette antédiluvienne est formidable.
Malheureusement,
elle est très pourrie.
Des
licols.
Ils
tombent en poussière tellement ils sont vieux.
Jouy,
les deux marnières Saussay
Dans un enclos agricole, propriété
privée. Il s'agit de deux galeries surcreusées en hauteur, afin
de permettre le passage des tracteurs, actuellement utilisée comme garage
et stockage de matériel agricole. Etat parfait, présence de deux
niveaux d'exploitation dans celle de droite. Présence d'une magnifique
charrette à chevaux, presque neuve ! Présence d'une cave fermée
avec une petite porte en bois. Dans la propriété du voisin à
droite, derrière le poulailler, une autre marnière, non visitée.
La
vue depuis la rue.
On
voit bien le surcreusement, c'est fort en hauteur.
La
charrette à chevaux, pour la promenade, une belle merveille.
Roue
manivelle de pompe ? Ou bien une manivelle de puits ?
Jouy,
les marnières des Larris
Situées rue de la Rougère.
Il est indispensable de ne pas fréquenter ces lieux en hiver, il y a de
l'hivernage de chauve-souris. S'il vous plait, respectez les animaux, votre présence
pourrait les réveiller (chuchotements ou lumière ou chaleur). En
cas de réveil, elles doivent manger immédiatement pour reprendre
des forces, mais il n'y a pas de moustiques en hiver. Ca signifie qu'elles meurent
d'épuisement.
Ces carrières s'ouvrent dans un coteau végétalisé
à droite de la rue en montant. Ces carrières sont pour la plupart
très petites et fort sales. L'intérêt se révèle
passable.
L'une de ces carrières s'appelle la marnière communale.
D'après Yannick, cette carrière était destinée aux
habitants les moins fortunés de la commune, qui pouvaient y tirer de l'amendement
calcaire à faible coût. C'est pourquoi on y retrouve des petites
niches, régulièrement disposées le long de la galerie principale.
L'une
de ces marnières, en fort mauvais état, a deux niveaux d'exploitation.
C'est le seul exemple dans le secteur.
A noté qu'aux falaises près de la Gare, on trouve la présence de wagonnets basculeurs décrits par le document Rue des Lumières (voir bibliographie). Cette tentative de mécanisation aurait effectuée par les allemands lors de la seconde guerre mondiale.
Les
entrées sont à flanc de coteau.
Certaines
entrées sont fort dégradées, danger !