Ce complément photographique a été réalisé en juillet 2014. Plutôt que de s'attacher à décrire l'ambiance générale des lieux, ces photos s'attardent sur les qualités épigraphiques des cloches. Nous allons passer en revue les rinceaux, qui ne manquent pas de charme.

L'ensemble des trois cloches. C'est fort engoncé dans une structure dense de poutres.

Sur la Ségers 1, une figure de vierge au serpent.

Sur les deux Slégers, le fameux rinceau dit "au cygne". C'est l'un des plus beaux rinceaux de Georges II Slégers, le détail est ahurissant.

La plus grosse cloche, Etienne.

De nouveau, des vues du rinceau au cygne.

On voit bien la jonction des plaques de cire.

La cloche 3 : ALJ Van Aerschodt.

Il se distingue de son frère Séverin par la dénomination "ainé".

La décoration est assez particulière, c'est un style propre à ce fondeur.

Feuillage de lierre.

L'autre face de la ALJ Van Aerschodt.

On voit bien ici le montage rétromitigé.

Elle a été réaccordée. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils n'y ont pas été avec le
dos de la cuillière. C'est un travail brutal.

La large dédicace de la cloche Etienne.

La signature du fondeur Slégers.

Le même rinceau, sur la cloche Marie.

La dédicace est pour le moins envahissante, mais cela reste équilibré et joli.

Calvaire à la vierge implorante, sur la deuxième cloche Slégers.
Sa situation juste au dessus du marteau rend ce décor très dur à photographier.

Au revoir les cloches !

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