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Le tunnel de Bête-Refaite (2/2)

 


PHOTO : CDK


Certains passages humides comportent de petits mondmilch.


Vue sur les pavés du sol. Comme ils sont glissants, le travail de halage devait être un enfer pour les hommes. Certains alignements de pavés font penser à des rigoles.


Une concrétion sulfureuse. L'odeur était âcre.


Un escargot concrétionné.


PHOTO : CDK


La fin du tunnel.


On y trouve une voûte affaissée et un gros coulis de terres.


PHOTO : CDK


Le tracé exact du tunnel de Bête-Refaite, en rouge ce qui reste, en vert ce qui a disparu.

D'après Cédric : Si la longueur initiale du tunnel était bien de 1267 mètres, la longueur exacte du tunnel restant est de 1120 m (marge d'erreur : 3 mètres). 1267 - 1120 = 147 m (à arrondir à 150) auraient donc disparu. Le tunnel ne se prolongeait pas dans le bois actuel, il allait comme le plan l'indique jusqu'au milieu du canal actuel. A l'époque, sa sortie se trouvait en effet à l'orée du bois de la Bomerée qu'il longeait par le dessous. On a donc aussi partiellement déboisé pour construire la tranchée de Godarville.

Les baquets de Charleroi


Il n'en reste plus beaucoup et apparemment ils ne sont plus en eau. Voici les bateaux qui étaient halés dans le tunnel de Bête-Refaite. On a peine à s'imaginer un tel volume tiré par des hommes.


Ils sont situés à La Marlette, à Seneffe.


Voici la cale dans laquelle les hommes dormaient. Ce n'est pas une cabine. C'est un espace de 1,90 mètre de large sur 1,40 mètre de long dans lequel il y a peu de mobilier. Toute la vie se concentrait là.


Un baquet en 2005 à Houdeng-Goegnies (les Deux-Soeurs).


Un troisième baquet se situe au village de Thieu.


Près de l'ascenseur n°4, au port de plaisance.


Il est aussi en cale sèche.


On voit bien le gouvernail.


A droite, l'ancien ascenseur à péniches du canal historique et à gauche, le nouvel ascenseur de Strépy-Thieu.

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