Nous
pourrions passer des heures dans ce grenier.
Au
fil des étagères, nous découvrons saint après saint.
Saint-Laurent.
La
représentation de Dom Jean Bosco, très ressemblante.
Saint-Georges,
terrassant le dragon.
Et
quand on cherche encore un peu, on trouve... Ici et suivantes, ce sont les matrices
utilisées pour le carillon Svati Sava de Belgrade, une réalisation
tout à fait particulière dans l'histoire de Grassmayr. Cette réalisation
est décrite sur Blagovest Bells.
Avec
les matrices, il y a toujours cette illusion d'optique qu'avec la photo, on ne
sait pas dire si on est en négatif ou en positif.
Les
décorations des plus petites cloches du carillon.
On
ressent qu'on est dans une influence orthodoxe slave.
La
figure de la plus grosse cloche du carillon. Du premier coup d'oeil, vous vous
rendez maintenant compte qu'il s'agit d'un procédé de photosynthèse.
Le trait est parfait, la réalisation en prend une tournure quasiment mécanique,
ça contraste fort avec l'apparence des matriçages des petites cloches.
Remarquez aussi comme Jésus a une apparence slavisée...
Difficile
de croire que c'est en négatif...
Les
représentations sont toutes un peu différentes et pleines de vie.
Celui-ci
a l'air machiavélique.
Le
pape Jean-Paul II, dans une représentation un peu plus ancienne.
Pas
très agréable !
Il
reste aussi dans le grenier quelques matrices historiques, elles sont réalisées
dans le buis.
Là
aussi, ce sont des travaux impressionnants, presque émouvants, qui étaient
les sculpteurs ?
Un
rinceau de palmettes.
Saint-Florian
de Lorch. C'est un saint autrichien. C'est en outre le saint-patron des pompiers.