Tchorski
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La fonderie de cloches Grassmayr (9

 


L'épigraphie de cette cloche est en albanais.


Ici, c'est Saint-Nicolas.


Détail sur les anses, je le redis, elles sont très belles !

La salle de la terre


C'est la partie de l'atelier où l'on prépare les moules.


La machine à mixer la terre est ici.


C'est un gros broyeur.


Quand il est en marche, on se dit qu'il ne ferait pas bon de tomber dedans.


Vue rapprochée de la terre. C'est un mélange d'argiles, de crottin de cheval et de barbe d'orge.


On voit un peu de ces fibres ici.


Contrairement aux habitudes et donc comme évoqué, il est utilisé de la barbe d'orge au lieu du chanvre. Cela a l'avantage d'une cohésion extrême. En effet, les barbilles peuvent être frottées dans un sens, mais en passant le doigt à rebrousse-poil, c'est comme si c'était rempli de petites épines. Ah, ça fait mal !! Cette spécificité garantit une très bonne tenue des moules.


Voici des moules terminés, ce sont des noyaux. Ces moules sont réalisés dans une terre beaucoup plus
fine que la chape.


On recouvre d'une poudre de perlimpinpin qui permet d'avoir une surface lisse et surtout non collante.


Ce liquide est assez assimilable à une cendrée.


Voilà le noyau quasiment terminé.


Le seau de badigeonnage.


Terminé et séché, le noyau a cet aspect.

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