Tchorski
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La fonderie de cloches Grassmayr (14

 


Cette photo est magique !


Du coup, on va plonger un thermocouple dans le métal. C'est en bref un thermomètre qui va permettre de savoir à combien on en est. Le bain est coupé aux alentours de 1125 - 1140 °C.


A nouveau, on se prépare à extraire.


L'objet est intensément lumineux.


L'écrémage a lieu. Le fondeur retire les pellicules de calamine, qui résultent d'une oxydation du métal.


Et c'est parti, coulée...


Des jets de métal ont lieu. Il ne faut pas être proche des fondeurs.


En effet, il faut aller vite, de ce fait, sécurité avant tout.


Coulée...


C'est terminé, donc on verse l'excédent dans les godets.


Tandis que les valises refroidissent. On voit déjà que le métal n'est plus liquide.


Il est pâteux.


Le fondeur donne une poignée de charbon, pour que le refroidissement ne soit pas trop brutal.


Ca provoque un joli jet de braises.


Voilà c'est terminé, on va ouvrir.

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