Vue
en perspective sur les équerres.
La
tringlerie au dessus de la cabine. Tout cela est renvoyé vers les petites
cloches, au sommet du carillon.
Une
autre cloche Drouot. On se rend compte qu'Habert a utilisé les matrices
de Regnault (fréquent à l'époque).
Leur
représentation du château de Mons. Elle est moins détaillée,
mais par contre le blason au dessus du portail est bien présent.
Une
cloche Michiels, fortement vert-de-grisée.
Une
petite pause, nous voici à l'ancienne école de carillon, qui était
dirigée par Geo Clément. Cette école se situait cour du Bailly,
tout au fond (il faut le savoir), coordonnées : 50.455439,3.949181.
Lorsque
nous reprendrons, en début d'après-midi, l'ambiance sera totalement
nocturne. Nous sommes en plein cour de l'hiver.
Voici
la représentation du château de Mons selon Félix Van Aerschodt.
Elle est très réussie. Il mentionne même les couleurs et la
colline.
Les
rinceaux sont des représentations néo-gothiques fidèles aux
goûts de l'époque.
Le
battant est d'assez forte constitution.
La
bélière est plus ou moins désaffectée, l'accroche
est montée sur oméga.
Le
cerveau à l'intérieur de la cloche montre des vestiges de noyau.
De
profil belge, l'angle est à l'intérieur de la cloche. En profil
français, c'est à l'extérieur.
Un
autre marteau en pierre. Il n'est quasiment plus renvoyé.
Sur
cette cloche-ci, les angelots sur nuages ne sont quasiment plus lisibles.
La
couronne, très typique de l'art des Van Aerschodt (à godrons alignés).
Nous
retrouvons ici une autre Delapaix.
Détails
en très gros plans sur son nom.