Comme ces quartiers sont peu fréquentés (ou pas du tout), on y trouve
du matériel intéressant : médailles de berlines, cordon détonnant,
pic, rivelaine, casque de l'armée américaine (??), boîte à
carbure, fleurets à foison.
H2S montre un foudroyage, la galerie est maintenant obstruée avec des tonnes
de marnes grises poisseuses.
De retour à l'étage du dessous. C'est une galerie peu haute et peu
large, ce qui est atypique pour la Lorraine. On ne comprend ce qu'est cette galerie.
Elle ne comporte pas de trémies, donc on ne peut pas dire qu'elle servait
de roulage. En contrepartie, les quartiers sont espacés (tous les 100 mètres).
Où
est-on ici ? Dans un quartier d'exploitation ancien ?
Plus ça avance et plus ça se dégrade, il faut ramper dans
des glaucotrucs tout à fait désagréables.
Et voici le bout du bout. Où est-on ici ? Dans quelle concession
? Comme il n'y avait rien d'identifiable au niveau des noms de concessions,
il est probable que le mystère restera complet.
Ici, nous sommes de retour, dans le squat en haut du plan incliné. François
est assis sur le levier de manoeuvre du treuil, que j'avais pris en photo en 1996
et que j'avais identifié comme... une radio !
Les pieds des Astres, qui dégustent et soupirent de joie.
Le treuil situé en haut du plan incliné. Cet appareillage permettait
de descendre les berlines remplies de l'exploitation de la minette calcaire vers
la couche siliceuse et la sortie de la mine.
En haut du plan incliné, un triangle de voies qui permet les croisements
de pleins et de vides.
Le fameux plan incliné.
Il fait environ 80 mètres de longueur. Il n'est pas facile à prendre
en photo...
Une berline en bas du plan incliné.
Tout le monde essaie d'éclairer ce long plan éclairé. C'est
à peine si l'on voit que c'est penché.