La mine de l'opéra (5/7)

La salle des compresseurs, on ne s'en lasse pas de celle-là !

La clé encore en place sur l'un des compresseurs.

Un détail sur un des compresseurs.

Un tas vestige de fleurets en bas d'un puits permettant de remonter en couche calcaire.

Le transformateur de la salle des compresseurs.

Dans les galeries de l'étage supérieur près du squat, un tas de rails.

On peut y voir les croisements de rails, nombreux à cet endroit-là à cause de la proximité du plan incliné.

François II et ses deux petits fantômes.

Vers le fond, en couche calcaire. Au bout, on tombe sur des quartiers sans rails, qui se poursuivent loin, dans un enchevêtrement bordélique de montées et de descentes incompréhensibles, dont un étage inférieur bien noyé.

Santé par la propreté, interdit de chier dans la rigole, hygiène, propreté !

Une espèce de trémie un peu perfectionnée. Cet appareil permettait de déverser les minerais dans
les berlines. Comme on est en couche siliceuse, on voit tout de suite que c'est un peu plus foncé.

Détail sur la roue bien graissée.

Détail sur le nom exact de l'appareil : convoyeur-élévateur. Est-ce ceci qui justifierait le
nom "Conway" pour ce quartier ?