L'intérieur
du carreau Costa del Pino. Tout est barricadé pour éviter les vols,
nous n'avons pas pu le visiter.
Certaines
rajoutes sont au-dessus des pentes, ce qui donne un étrange aspect sur
pilotis. A noter l'inverse aussi, certains bâtiments s'enfoncent dans la
montagne. Un vrai dédale...
Détail
du départ d'un second téléphérique, à partir
d'un autre bâtiment ; le carreau de mine est relativement vaste. C'est le
lancement du téléphérique du personnel, dont la cabine est
encore visible.
On
y trouve cette belle plaque tournante.
C'est
le départ d'une voie terriblement inclinée. Les wagons étaient
treuillés depuis une installation à ce jour disparue, elle est rangée
dans le coin d'un bâtiment en attendant on ne sait quoi. On y voit un treuil
de forte constitution, et un outillage de freinage rudimentaire.
Réutilisation
ingénieuse d'un nid d'oiseau !
Le
vaste carreau de la mine.
La
salle des transformateurs. Au moins l'un d'eux était encore en fonctionnement.
Une
poulie horizontale.
Quelques
vestiges partiels de godets de noria.
Un
ancien wagon. Aucune idée du détail de son utilisation, car dans
la mine a priori ils utilisaient des tombereaux de forte capacité et de
construction robuste.
La
cabine pour le personnel. Cela va de soi que dans le paysage minier que nous connaissons,
c'est un élément plutôt exceptionnel. Un grand merci à
la commune et à la région d'avoir eu l'initiative de le préserver,
plutôt que de tout ferrailler comme d'habitude.
Ici,
on peut voir au fond la présence d'un perforateur pour consolider les ciels.