Nous sommes ici au sommet de notre immense mine de fer. C'est un petit réseau fort esthétique. Il communiquait avec le reste de la grande mine dans un lointain passé, mais aujourd'hui, la descenderie qui permettait cette jonction est totalement détruite. Il est possible d'accéder à ces galeries par une porte, qui a été installée en pleine forêt, au milieu d'une coupe. Par un temps pluvieux, nous avons été à la découverte de ce beau réseau.
Les galeries totalisent un peu plus d'un kilomètres d'un beau méli-mélo de montées et descentes. Cela donne l'impression d'une exploitation un peu plus artisanale que le reste. Il n'y a pas vraiment de vestiges industriels lisibles dans le paysage, mais ça reste tout de même un ensemble du plus charmant.
Une
galerie proche de l'entrée.
Cette
concrétion est une méduse !
Les
galeries sont au rocher, on peine à distinguer où se trouve le minerai.
Première
rencontre avec la descenderie.
Au
fond, elle butte sur cette zone de mauvaise tenue, boisée à l'équerre.
C'est
à ce jour, comme évoqué, complètement fracassé.
La
plus grande salle de cette mine.
Elle
possède de mignons piliers tournés.
Un
splendide mur de remblais.
Un
boisage mêlé de remblais.
Un
grand nombre de galeries ressemble à ceci.
Un quai de chargement dans la descenderie.
Sur les hauteurs du site minier se trouve un vaste volume assez difficile
à accéder.
On y trouve encore de jolis vestiges ferrés.
Dont cette descenderie, menant malheureusement à un éboulement.
Les quartiers sont très souvent d'un aspect soigné.
Au revoir la mine.