A partir de la principale chambre chaotique, nous allons partir vers
le fond de la mine.
Bien que dégradés, les lieux sont esthétiques.
En fond d'étage supérieur, c'est moins anthraciteux
et en meilleur état.
Par contre, dès que l'on retourne en chantier d'exploitation,
c'est une autre histoire.
Les veines les plus riches sont d'ailleurs éboulées.
C'est à peine si l'on distingue les rails.
C'est là que nous allons nous frayer un passage...
La suite, plus bas, est une belle conservation d'un quartier ancien
boisé.
L'esthétisme y est parfait.
De gros volumes de stériles en fines sont retenus derrière
les boisages.
Par malchance nous n'irons pas plus loin que cet effondrement.
Reste que tous les abords de ce secteur sont magnifiques.
Bien que ça soit difficile à illustrer, c'est un plan
incliné principal dans la mine.
Une courte section possède un peu d'eau.
Belle galerie partiellement inondée.
Avant de quitter, montons au sommet du gisement d'exploitation.
Les boisages subissent un affaissement du ciel.
De superbes 'Bon-Dieu', c'est comme ça que s'appellent ces
boisages horizontaux.
C'est une belle longue galerie qui a suivi un filon.
Que d'esthétisme dans ces chandelles en haut !
C'est après avoir regardé ce dépilage que nous
quitterons les lieux, tout de même rassurés
d'être sorti de cet ensemble, manifestant des états de
dégradation qui ne sont pas anodins.