Une première entrée. Derrière c'est noyé
et une coulée de fines semble tout boucher.
Continuons la montée dans les très belles verses.
A nouveau un essieu de berline.
La verse prend des aspects variés et parfois un peu étonnants.
C'est en tout cas peu anodin dans le paysage. On ne voit que ça
et c'est joli.
Tout de suite on comprend où se situait le filon vertical...
Il s'agit de blocs de limonite recouverts de sidérite.
D'autres entrées font plus ou moins leur apparition, celle-ci
est fracassée.
Alors continuons l'ascension.
Les couleurs étaient tout bonnement incroyables, un déluge
de ciel bleu comme dirait une autre personne ;-) Et pourtant, il n'y
a personne à la ronde.
Ici, le lieu devient spectaculaire.
Une jolie palette de couleurs.
Plus haut, les lieux sont visiblement tourmentés.
Les blocs deviennent difficiles à parcourir.
Tandis que le pigeonnier se fait de plus en plus petit, comme tout
à l'heure en bas, mais dans le sens inverse. Bon en bref, en
gros, en résumé, on monte...
Tout le massif est traversé de galeries, qui rejoignent la
mine Robert.
Les changements de température sont assez conséquents
à soutenir, üurps... pardon...
Le sommet approche inexorablement.
Une ancienne entrée comblée.
Là aussi ça file dans le massif. Celle-ci est un monstro-dépilage,
qui file bardaf 20 mètres plus bas !