Cette mine était initialement une seule et même exploitation, d'un grand développement souterrain. A ce jour, des effondrements et des foudroyages scindent cette grande mine en deux volumes, voire éventuellement trois. C'est assez difficile à déterminer.
En tout état de cause, après de laborieuses recherches en 2013, nous avons pu visiter deux blocs d'exploitation. Cela donne un bel aperçu de ce vaste ensemble. Les photos débutent avec le creusement le plus profond et le plus intéressant. Ensuite, et les commentaires le préciseront, nous irons dans une seconde partie. Nettement plus composée de quartiers monotones, la visite de cette mine est vite lassante.
Au dessus d'un puits. Passer, pas passer ? Nous avons préféré
éviter.
De longues galeries parfois monotones traversent toute la mine.
Ces galeries, dites de déblocage, permettent de desservir tous
les quartiers.
On voit ici quelques vides relatifs à ces exploitations.
Zone de mauvaise tenue.
Au dessus de plusieurs descenderies, ces galeries vont de plus en
plus loin dans la mine.
On commence à y trouver de l'air comprimé.
A nouveau un secteur un peu dégradé.
Un puits de versage du minerai, ça s'appelle une balance.
Nous arrivons sur une assez grande recette.
En dessous se trouve une grosse descenderie.
Stockage de voies démantelées.
La galerie sinue. Elle est divisée en deux. Une partie est
destinée au roulage, l'autre à droite est un canal d'exhaure.
Un interminable mur sépare les deux. Les maçons ont
dû en voir de toutes les couleurs durant combien de semaines
afin de monter ça ? (pas loin d'un kilomètre de mur).
Le secteur étayé souffre au fil des ans d'abandon.
Les trémies se situent sous la toute première exploitation.
Une barrière permettant le passage, ou le fermant.
Quel grand croisement !
La voie devient parfois... comment dire... un peu hasardeuse.
Deux petits gigots pendent au toit.
Tout au bout du bout du bout ! Front de taille.