Le puits d'accès.
En une occasion inopinée, nous sommes retournés dans les
carrières.
Le paysage est toujours aussi avenant.
Le parcours dans ces galeries vierges est un plongeon dans le passé.
Même si en certains endroits, les clavages sont tombés tous
seuls.
Autrement tout est superbement bien rangé.
Une table de comptage.
Celle-ci date de 1850.
Ce parcours idyllique embellit la réalité.
Malgré ces belles galeries, la très grande majorité
du réseau est constituée de boyaux étroits.
C'est pourquoi je porte des genouillères, afin de me protéger.
Les photos se concentrent sur les quartiers accessibles.
Et les inscriptions de comptage.
Nombreuses et quelquefois peu lisibles.
Mais la réalité est celle d'un souterrain très difficile
à visiter.
Chaque barre comptabilise un bloc.
Cela permet d'établir la paye du carrier.
Le plan est terriblement anarchique.
Les tournants sont incessants, de ce fait il est difficile de s'y repérer.
Hordain est un graal de beauté et de difficulté.
Au revoir la carrière.