On trouve, avant de quitter les lieux, l'inscription d'un ancien mineur.
A partir de cet endroit, on descend d'un niveau.
Il se trouve pourtant les traces anciennes d'une voie. Nous sommes
dans un secteur où la galerie
devient vouée à de la prospection.
Sur une roche immuable, avec de l'imagination, on peut voir le profil
d'un homme. C'est celle que j'ai
appelé la roche de l'homme.
Le même lieu en 1996.
Et au mur, plus loin, ce 10 émaillé. Pourquoi cette
petite plaque ?
Puis voilà, le bout de l'exploitation, dans le tithonique,
c'est ce simple front de taille.
La croix est liée probablement à une très vieille
topographie.
Retour vers l'entrée.
A droite à gauche, encore de vieilles inscriptions. 1929 est
la date de naissance et 1955 la date plus que probable d'exploitation.
Notre auteur d'inscription est un grand admirateur de voitures !
Une autre partie de la salle des arches, où ici tout est intact.
Ce n'est pas le cas partout, car il existe
tout de même de sérieux fontis.
Avec attention, on trouve d'autres inscriptions, qui commencent à
un peu passer avec le temps.
Dans l'entrée de la mine se trouve un ancien laboratoire.
Contrairement à ce qu'on peut lire ça et là,
le lieu n'a rien à voir ni avec Louis ni avec Joseph Vicat.
L'exploitation ci-présente est très nettement postérieure.
Il s'agit vraisemblablement d'un petit labo dans lequel il était
procédé à quelques tests d'usage sur les prompts,
afin de s'assurer de leur essentielle teneur en argile.
Depuis des dizaines d'années, tout est là superbement
immobile. C'est beau.
Les futs en métal sont remplis d'un vieux carbure.
Ce genre de lieu est assez unique dans son genre, c'est appréciable.
D'ailleurs, quelle belle surprise de trouver ces bouteilles antédiluviennes.
Chacune des fioles mérite une attention toute particulière.
Et d'ailleurs proche du sol dans un recoin se trouve une ancienne
callebonde de lampe à carbure.
Dans une seconde pièce, il subsiste ces nombreux godets éprouvette.
Voilà tout en ce qui concerne cet étonnant et chouette
lieu de mémoire.