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Le sanatorium d'Angicourt (2/2)



Un hêtre pourpre donne une superbe couleur en ce début de printemps, malgré un climat maussade.


Visage de petite fille, à la fois triste et inquiétant.


Classique paysage de maison de repos, d'abandon et de décès.


Le rez-de-chaussée est en sale état en bien des endroits.


Nous allons quitter le bâtiment ancien.


Les couloirs nous éloignent vers l'inconnu, ce n'est guère avenant.


Ce lieu fut une vaste salle multifonction, salle des fêtes, salle de théâtre, de conférences.


Aujourd'hui elle offre un paysage en ruine.


Les bâtiments ancien et récent sont reliés par un corridor.


Cette situation est à ce point comparable au sanatorium de Dreux qu'on s'y croirait pour ainsi dire.


En de larges sections, le vandalisme et les effets du temps ont été brutaux.


Le bâtiment en briques a fait l'objet d'un abandon récent. De ce fait son aspect intérieur est différent.


Cela explique qu'on y retrouve les vestiges d'une salle d'op.
Cela n'a plus rien de commun avec une activité de sanatorium.


Ce bâtiment a subi une dévastation de la part des visiteurs. On y trouve les traditionnelles dégradations des tags, des casses et des déchets, se terminant assez généralement par le feu. Malgré cette dégradation, la plupart des locaux sont nettoyés par le propriétaire, au vu de la faible quantité de déchets présente sur place.


D'ailleurs du sana la seule véritable trace tangible, ce sont les terrasses, permettant de bénéficier de l'ensoleillement maximum.


La sensation de destruction est manifeste, on y passera au final que peu de temps.


L'architecture est plus fonctionnelle, avec une tendance morose.


Tout autour c'est la forêt à perte de vue.


Seuls les escaliers sont jolis.


Une agence immobilière dirait : de charme, à rafraîchir.


Etant donné que je collectionne les bites ailées, il fallait bien que celle-ci, signalée par mon comparse de voyage, soit ajoutée à la longue liste. Elle est particulièrement affreuse !


La myriade de locaux annexe n'a plus de réel intérêt architectural ni historique à ce jour.


On y observe une laverie de constitution récente.


Ainsi que des adoucisseurs d'eau destinés aux chaudières.


Les villas furent dévastées par des squatteurs, elles n'offrent plus le moindre vestige lisible.


Nous terminerons sur cette maxime alcoolisée, grosse avec un seul S, couilles sans S, c'est bien entendu là tout l'intérêt du message on l'a bien compris. Vladimir apprécie.

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