Tchorski
Accueil - Urbex minier - Urbex industriel - Urbex religieux - Paysages sonores - Contact & achat - Politique de confidentialité

Bemelerberg (2/2)



Cette page comporte des photos hivernales du Bemelerberg, situé à Bemelen, petite ville située à l'est de Maastricht. Ce sont quelques carrières offrant un paysage tout à fait caractéristique du secteur que l'on appelle le Mergelland. En période printanière et estivale, des centaines d'ovins pâturent au pied des falaises. Bien que ce ne soit pas spécifiquement de la grosse mine industrielle (bien barbare comme on aime), il est aussi important de montrer comment le Mergelland s'est construit au fil des siècles.

Ces exploitations sont toutes sans exception de petite dimension. Il s'agit de travaux artisanaux anciens, qui correspondent à des extractions de pierre à bâtir. Les photos de l'intérieur des carrières ne relèvent d'aucun intérêt. En contrepartie, que ces paysages hivernaux sont magnifiques au petit matin !

Il s'agit d'un site extrêmement touristique, dans le sens où les locaux viennent y faire une promenade du dimanche. Le site est donc agréable. Notre promenade va nous faire passer devant les Winkelberg-groeve, Cluijsberggroeve, Koelebosch-groeve, Gasthuisdelgroeve et Mettenberg. Tous sont groupés dans ce que l'on appelle donc le Bemelerberg, qui outre son aspect graphique, est aussi une réserve naturelle.


De très loin ces falaises sont visibles.


Baignées de la lumière du matin, elles révèlent la gaîté.


En plein hiver la nature émerge doucement de la froide nuit.


En cette heure matinale les lieux sont déserts.


Les pâtures sont givrées.


L'herbe crisse sous les pieds.


Un épervier tournoie à la recherche de proies.


Longues sont les ombres en cette aube au soleil rasant.


Ces sites ont tous à peu près cet aspect, une falaise, quelques entrées.


Aucun site ne s'enfonce sous le plateau.


Plus loin, au fil d'un Heuvelland toujours solitaire.


Le soleil inonde les entrées, les flaques sont glace.


On voit que les coteaux baignés de chaleur commencent à fondre.


Plus rien ne témoigne de l'activité des carriers.


On garde le souvenir de couleurs enchanteresses.


Rêverie matinale.


Toutes les entrées sont condamnées avec un treillis afin que les troupeaux n'entrent pas.


Au revoir le froid.

ACCUEIL