Il ne sera donné aucune indication sur ce fort, du fait que l'emplacement est utilisé à des fins stratégiques. Comprenons en cela que notre documentaire est incomplet, il manque les locaux du massif central. La situation sur place entraine que ces installations ne sont pas documentées et ne le seront pas ultérieurement. Notons de surcroit que le pilonnage intense de la position entraine un état de destruction élevé.
Le porche de la poterne.
La date de construction n'est plus visible, dégradée
sous les tirs.
Sous le porche de la poterne.
Vers la gauche, les locaux de contrescarpe.
Vers la droite, la casemate de défense latérale.
La galerie de profondeur possède une casemate de tir permettant
de protéger la tour d'aération.
Cette galerie est assez courte mais bien entendu très monotone.
Au sein de cette galerie se trouve un local possédant quelques
vestiges de décoration.
Le silence y est requis. La galerie répercute intensément
les bruits du dehors. De ce fait la position permet d'écouter
ce qu'il se passe en surface (on parle ici bien sûr de bombardements
et non du chant des oiseaux).
Le chaos est impressionnant, c'est un déferlement de violence.
L'escalier situé entre les galeries inférieures et les
locaux d'escarpe.
Un des rares endroits où les Jowa n'ont pas été
arrachés.
A proximité de la salle des machines.
Dans le quadrilatère.
Tous les Jowa ont été démantelés ici.
Ca laisse aux murs de jolies couleurs de rouille.
Un rack à munition placé sous une poterne de saillant.
La galerie d'accès au coffre de tête.
Vers la sortie.