Le fond se détériore, ici ce sont les murs à
sec qui ont craqué sous la pression du ciel.
Là ce sont les boisages qui ont cédé.
Le tout dans une ambiance pas bien haute.
Ca fait travailler les genoux !
La remontée du sol à gauche n'est pas naturelle, c'est
un soufflage dû aux compressions horizontales.
Une partie de la mine est noyée. Cela n'a pas l'air d'être
un secteur conséquent.
En plein dans le houiller, comme c'est mignon. C'est rare un si bel
aspect minier.
On remonte au jour, l'entrée est minuscule et dissimulée
dans la végétation !
On a la chance de pouvoir encore accéder à quelques
latérales.
Ce sont des quartiers de dimension restreinte.
Et puis pas de chance, un réel noyage cette fois-ci.
En croisant une grotte, un ruisseau s'écoule dans la mine.
Retrouvons donc graduellement le chemin de la sortie.
Vestige d'un repas de mineur peut-être...
Au revoir belle mine alpine.