Le Grand Carré vers la chapelle. Le lieu est apaisant.
Le bâtiment de la direction, transformé en habitation.
On a du mal à imaginer que Demetz en fut un des habitants.
Le chalet sud, un peu isolé désormais.
A l'extrémité sud-est, des bâtiments qui furent
probablement administratifs.
Longeons à l'est, et remontons plein nord. Ce sont des ateliers
en enfilade.
Tous ces bâtiments ont connu le labeur des colons.
Détail architectural sur une entrée.
Dans l'ensemble, nombreux sont les bâtiments intacts.
Une longue bordée de marronniers mène à la ferme.
Voici la ferme, celle-ci est située exactement au nord de la
chapelle.
Extrémité nord vers Le Mortier, on trouve le cimetière.
Celui-ci est l'objet pour moi de très grands questionnements.
Pourquoi est-il si vide ? Mon hypothèse, laquelle n'engage
que moi - mais je n'ai pas de garde-fou - est qu'il est rempli de
morts sans sépultures. Je suppose que les enfants décédés
furent inhumés ici, et que les maigres sépultures (un
petit tas de terre) sont aujourd'hui aplaties et arasées. En
effet, pourquoi un lieu si grand pour si tant 'rien' ? Et où
seraient inhumés alors les enfants décédés
à la colonie, ces orphelins, vagabonds et sans familles ? Je
suis convaincu que de creuser ici amènerait de sacrées
surprises.
Tombe isolée sans nom.
Dormez en paix, quelle étrange inscription un peu étrange...
Sans nom en tout cas.
Croix, sans nom.
La tombe de Henri-Louis Alluchon, décédé à
23 ans.
Nous ne l'identifions pas.
La tombe d'Adrien Lemay, chef de ferme, décédé
à 32 ans..
Détail de sa tombe.