Le nom d'un militaire, dont le patronyme est illisible, régiment
48.
Une inscription de 1918.
Les inscriptions allemandes sont souvent burinées, par la haine
de ce qu'elles représentent.
L'aigle impérial allemand.
La déesse mère à la corne d'abondance.
Ceci explique aussi le merde gravé en dessous.
Traduction littérale : ici personne ne passe !
Krankenträger signifie littéralement "porte-malade".
Nous imaginons que c'est la civière.
Peut-être les noms d'autres personnes tombées au combat.
Traduction littérale : cuisine de poisson.
Que Dieu mitraille l'Angleterre. Bonne chance !
Cette gravure exceptionnelle a été faite en 2014 en
honneur aux poilus. C'est un texte de Jean-Pierre Gueno.
En face, ce mémorial a été fait en 2012.
La raison d'être des lieux.
Les auteurs sont Requena Stéphane, Bejot Philippe, Cieslak
Cyrille. Notons à ce titre que nous les remercions de leurs
recherches ardues, ce qui a permis de sauver la butte aux zouaves
notamment.