Les ardoisières (6/6)

Les gros blocs reposent sur un bois plus que pourri. Nous n'avons pas visité ce lieu.

Cet infortuné a eu cette ardoisière pour tombe.

Un peu plus loin et cette fois-ci sous terre, voici une fameuse piscine.

Quel imposant bloc décollé...

Une chambre d'exploitation.

On voit de manière exemplative quelle était la couche schisteuse débitée.

A nouveau des murs de remblais, toujours la même structure.

Ils sont posés au toit et forment une belle galerie en triangle.

En dessous, on ne saura pas ce qu'il se cache !

Appareillage soigné des murs de stériles.

La galerie principale.

L'ardoisière 10

Il s'agit d'un vaste site forestier agréable. On y trouve d'étranges énormes dolines dont les murs sont formés de déchets schisteux formant des murs verticaux. On trouve aussi une entrée d'ardoisière, jolie mais immédiatement effondrée, et une ancienne poudrière.

C'est un domaine forestier aux couleurs chatoyantes.

Les ardoisières sont toutes effondrées immédiatement.

Une ancienne poudrière.

L'ardoisière 11

Il s'agit d'une petite entrée en bord de route. Elle possède un remblai en couronne dégradé. Ce fut non visité car beaucoup trop dangereux. Au-dessus se trouve une très belle cheminée maçonnée en schistes. Il faut monter 80 mètres pleine pente et sur un presque replat, on la découvre quasiment par surprise.

Une première entrée, tarnicole.

Une seconde entrée. La galerie est trop dangereuse afin d'être parcourue.

La schistosité de la roche est impressionnante !

La belle cheminée, cachée dans la forêt.

L'ardoisière 12

Il s'agit d'une forte descenderie.

Elle descend dans le noyage.

L'ardoisière 13

C'est une petite excavation de 15 mètres, indéniablement jolie. Elle possède une vieille pompe et une descenderie noyée donnant sur une seule chambre borgne.

La toute petite galerie d'entrée.

Un ancien pompage d'eau.

Le noyage, une belle eau bleue.

Un autre site d'exploitation est presque attenant. Deux galeries sont accessibles, formant une seule ardoisière. La jonction est éminemment dangereuse.

La première ardoisière : c'est une petite galerie montante, d'aspect très ancien. Elle possède un remblai en couronne à un niveau de danger très élevé, voire extrême. Non visité.

La seconde ardoisière : Elle possède une belle galerie d'accès, donnant vers la gauche sur des chambres d'exploitation en enfilade, le tout comportant de beaux murs en remblais. Dans la galerie d'accès, 15 mètres après l'entrée, une fosse donne l'impression d'être close. Cependant au fond, un passage discret, sous un mur de remblais effondré mais stabilisé, donne accès à un niveau inférieur. C'est une jolie galerie de 20 mètres de long, comportant remblais en murs intacts. Au bout, une forte descenderie latérale s'ouvre, avec à gauche l'ancien accès au jour obturé par une dalle, à droite une descente fulgurante de 30 mètres, donnant accès à du niveau inférieur. Ce site est préservé et joli.

Dans les remblais en couronne. Les stériles sont placés au-dessus.

Tout cela ne tient que par magie sur des bois de merde complètement pourris.

Ce cheminement épouvantable est le niveau maximal du danger.

Heureusement de larges parts de l'exploitation ne sont pas concernées.

Vers une chambre. Les murs sont moins bien rangés que dans les autres excavations.

Une chambre d'exploitation un peu chaotique.

Au vu du pendage, les chambres sont souvent triangulaires.

Galerie de jonction.

Les remblais sont amoncelés afin de laisser un passage de circulation.

Galerie principale vers les chambres.

La galerie d'accès.

L'ardoisière 14

Cette ardoisière est complètement perdue dans les bois.

Elle est totalement ratatinée.

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