Vue de la dernière batterie, là où sont stockés les
cokecars.
Les fours côté défournement. On peut voir au fond la toute
petite tour d'extinction.
Sur cette photo de four, le plus intéressant est le bellier à gauche.
C'est tellement exigu, il est rare de pouvoir prendre ça en photo.
Vue d'ensemble des deux batteries.
Les injecteurs dans le tunnel sous les fours.
L'enfourneuse, restée en grande partie intacte. Elle est nettement plus
petite que celle de Tertre.
Le poste de commande de l'enfourneuse.
Un appareillage original dans les cokeries, un refroidisseur sous forme de gros
cube.
Les gens sont partis. Il reste quelquefois au hasard un tout petit témoignage...
Etant donné qu'ils manquaient de place, les batteries donnent pratiquement
immédiatement sur un bras de mer de l'arrière port, les ingénieurs
ont conçu une alimentation de la tour à charbon originale, il s'agit
d'une noria. Il y en avait aussi une à Tertre, dans le bâtiment des
silos, mais elle était peu visible. Il n'y en a pas dans les autres cokeries
belges. Dans ces tubes passent des godets remplis du mélange, principalement
constitué de charbon (+ 1 à 2 % d'adjuvants).
Aujourd'hui, des fleurs poussent dans les godets.
Il s'agit d'un extracteur, gaz ou fumée. On voit le même bâti
en arrière plan, avec sa gaine en tôle, qui a disparu sur la machine
de premier plan. L'extracteur était entrainé par la poulie tout
à gauche. Cette poulie était entrainée par une courroie placée
sur un arbre. Les poulies menantes étaient placées sur un seul arbre
traversant la pièce, comme on le voit sur la photo suivante.