Un
joli exemple de berline encore pleine.
Les
volumes de cet étage dédié aux berlines sont très
grands.
Manifestement, ça change de la compression - entièrement
compréhensible - du triage lavoir.
La
recette du puits.
Autre
joli croisement de berlines.
L'un
des deux locaux de manoeuvre des cages. Oui, il y en a deux, un au nord et un
au sud, et pourtant les cages sont contrebalancées. Nous avons déduit
qu'il y avait quatre cages dans chaque puits, soit huit cages si on compte le
deuxième chevalement. Il devait y avoir un débit formidable.
La
manette de descente de la cage dans le puits.
La
vitre du local de manoeuvre est cassée...
La
mesure de descente de la cage dans le puits.
90m/s, ça fait 324 km heures.
Euh quoi là ? Je me suis trompé hein ?!
Après
cette brève incursion au puits, nous repartons dans la rouille.
Dehors,
un grand stock de berlines qui attend probablement sa valorisation au musée.
Il
reste aussi la locomotive.
Certains
matériels semblent venir de Zolder.