Vestiges Cockerill

Nous avons fait la visite à quatre, nous deux et deux gamins assez amusés par notre présence. Johan, viens à l'étage, j'te dis qu'ya un squelette ! En réalité, les photos le montrent bien, c'est un endroit assez vide, pas grand chose retenant l'attention. Il faut surtout reconnaître (aussi) que c'est gardienné. Autant nous pouvons présenter notre démarche photographique à un humain, autant cela se complique avec un dogue paraissant balaise et assez peu loquace - enfin tout au moins son cul vu de loin, ce qui suffit amplement à mettre les idées au clair. De ce fait, la visite sera assez rapidement écourtée.

Un vestige intéressant tout de même, une niche à Saint-Eloi, ainsi qu'un ancien téléphone dans le hall d'accueil. Il doit y avoir beaucoup d'autres choses à voir, mais nous avons préféré ne pas aller plus loin.

Les fenêtres donnent sur des grands halls relativement inaccessibles. Ils ne sont pas clairement abandonnés.

Dans le hall, un ancien téléphone.

...ce que nous avons fait bien sûr !

"Vestiaire thiébaut - L'orsque vous êtes sur un WC à pédales, ne laisser pas de tournevis où
autre objets dans vos poches. Vous boucher la tuyauterie d'évacuation."

Le hall à l'étage, avec les deux petits monstres ;-)

Au milieu des Mesdames toutes nues, des bouvreuils et chardonnerets. Pourquoi donc ?

Les vestiaires ont été complètement pilés. Viens Johan, j'vais t'péter la gueule !

Appel aux cendrillons carolorégiennes... Prince Johan vous attend.

Adoptez-le ! Il a froid.

L'extérieur de ce bâtiment. Tout autour, ce ne sont que des grillages et des lieux réutilisés pour d'autres choses.

Juste en face, dans l'un des grands hall, une niche à Saint Eloi.

...et une de ses roses, gisant morte par terre.

Aucune précision sur l'affectation de ce bâtiment, excepté que des trains y entraient.

Un peu plus loin, un ancien château d'eau, que j'avais longtemps pris pour un poste d'observation ferroviaire.

Sa cuve est vide, il ne sert plus depuis des lustres.

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