Ici, on vous a laissé quelques machines afin que vous puissiez jouer.
Les ateliers sont très vastes et complètement bordéliques.
On passerait agréablement des heures et des heures à fouiller chaque
tiroir, étonné à chaque trouvaille improbable.
Au poste de commande d'une machine à coudre.
Ils ont laissé sur place deux machines qui nous permettent de comprendre
comment fonctionnait la partie tissage de l'usine. Des alignements de machines
épouvantablement compliquées, semblant fragiles, dont le détail
révèle une embrouille de fils dans tous les sens...
La caisse marron devant est en cuir ou en imitation de cuir. Tout ce qui est dédié
au transport semble fabriqué et adapté à des matériaux
très légers.
Le fil est encore en place, c'est comme si tout avait été lâché
sur un coup de tête.
Vue de détail sur le guidage du fil vers les métiers. Le fil est
aussi fin que de la toile d'araignée.
Une vue générale du grand atelier de tissage.
Ici, en étage inférieur, voici le convoyeur. Il est constitué
de berlinettes en tissus.
Ca transite dans un garage, ou gare de triage.
Il y a des places de parking
pour chaque marque de produit fabriqué.
On voit les berlinettes en détail. C'était très très
sombre, je n'ai pas pu faire mieux...
La gare de triage.
Autre machine infernale de tissage, quasiment comme neuve. On s'attend à
ce qu'elle se mette en route avec fracas lorsqu'on appuie sur le bouton "on".
Les tuyaux alieno-terminatoresques de la machine.
Là encore, les toiles d'araignées sont en place, prêtes à
repartir méthodiquement lundi à 8h30...
Muziek please !
Ce que j'aurais identifié comme étant une machine de teinture.
Le ventre du monstre.
Michaël dans un reflet de la machine.
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