Une autre cloche de fontis en formation.
La particularité de la craie à Marly, c'est d'être
fort granuleuse. De ce fait, elle a une mauvaise cohésion.
Un des quelques puits. Ils sont sommairement maçonnés en
brique.
On voit qu'ils commencent à subir de la flexion...
Le blanc, c'est ce qui est tombé. Cette peinture rouge permet de
mettre ces dégradations en exergue.
Le fluo orange a été ajouté lors de l'inspection
de janvier 2005.
Un autre puits en brique.
Au sein des quartiers situés vers l'est.
Sous la flexion, l'un des puits-cheminée a éclaté.
Un convergencemètre. Cette canne de convergence a été
installée par le SDICS et permettait de mesurer l'éventuel
affaissement du ciel de la carrière.
On ne voit pas le manomètre, protégé dans un sac
avec de l'absorbeur d'humidité.
Voilà comment peu à peu, la carrière s'effrite.
Un autre appareil de mesure, cette fois-ci fiché dans le pilier.
Cette échelle sommaire pourrait dater des réfugiés.
La cheminée de la galerie principale. Au sol, c'est de l'injection.
On voit très bien ici cet aspect granuleux, si particulier à
Marly.
Un autre appareil. Il mesure la distorsion de forme du pilier sous la
pression des sols de surface.
Une transversale de la galerie principale.
Adieu, carrière de Marly...