La mine de l'opéra (7/7)

...sauf cette dernière qui n'est pas carrée et qui comporte un châssis en bois.
On y voit aussi le butoir, ce qui n'est pas très courant.

Ca fait une belle série. Soixante, ça paraît vraiment interminable.

Retour au plan incliné. On a équipé une berline de deux phares. Hissée pratiquement en haut du plan incliné grâce à la magnificence de nos petits muscles, on l'a fait dévaler la pente. On l'a enregistrée et on l'a filmée. Une belle vitesse ! Je dirais entre quarante et cinquante kilomètres à l'heure, avec en bonus des étincelles sur les rails. Un moment magique de voir l'animal gronder sur les rails ^^ Au bout de la descente, alors qu'elle perdait déjà de sa vitesse, elle a déraillé et terminé sa course dans le sable.

Vue de l'appareil dans la nuit, équipé de ses deux phares.

Ca, c'est l'obtention du diplôme, le touillage du café avec de la minette.

La traditionnelle photo de groupe : l'opéra comique belge :)

Dans le garage, la pelle Eimco, immobile depuis des années.

Le train de berlines (une dizaine de pièces).

Ce sont les bois bosniaques, un amour-passion que je ne cesse de décrire.

La végétation y est entièrement accueillante, pas du tout hostile. Les mauvaises langues disent que c'est vaguement enchevêtré et très légèrement piquant, mais il ne faut pas les écouter, ce sont des foutaises.

Certains disent aussi que c'est mal rangé. Franchement, c'est magnifiquement
ordonné et pas du tout dépressif comme paysage.