L'extrémité nord de la galerie. Au-delà, c'est
exploratoire et dans un état lamentable.
Une berline, curieusement préservée dans un recoin de
galerie.
Tandis que ce qui est exposé se retrouve... explosé.
Monter dans la grosse cheminée inclinée s'avérait
être à l'époque une rude épreuve, c'était
200
mètres de dénivelée dans un passage obstrué
de la sorte.
Si cela sortait au jour, ce n'est plus le cas désormais.
Nous redescendons tout afin de sortir de la mine.
Un long parcours au regard souvent chaotique.
Une échelle mène à des chantiers supérieurs.
Et sur notre passage fleurissent les champignons grâce aux spores
que nous disséminons
de par nos chaussures.
La galerie d'entrée telle qu'elle était en 2005.
Ainsi qu'un des deux effondrements. Curieusement celui-ci n'a pas
évolué, c'est le second
qui est totalement tombé.
En outre, c'est précisément cet endroit qui est désormais
un amas de roches et de tôles brutalement tordues.
Certains recoins pour le moins difficilement accessibles possèdent
encore du matériel.
C'est le cas de cette ancienne salle de compresseurs.
Ainsi qu'un vestige de transformateur.
Afin de compléter et achever la visite, voici des photos d'archives
de 2001.
Il s'agit des wagons en bois collectant les trémies.