L'atelier
est juste derrière ce chaos.
On
y trouve d'abord un joli tonneau, même pas pourri.
Les
(supposées) boîtes de détonateurs.
Les
perforateurs, comme dans un musée.
Les
pelles.
Les
lauzes, prêtes à sortir.
Une
vue générale de cet atelier.
Une
autre chaussure.
Certains
bancs ont été sciés, ce qui ne se retrouve pas de manière
visible ailleurs dans l'ardoisière.
Ci-dessus,
l'unique vue de Juliard que j'ai faite. L'effondrement, c'est la montée
difficile dans les chaos de l'étage supérieur, qui rejoint Châtel
au prix de sacrées difficultées.
Troisième
galerie, nom inconnu. Après ce chaos, ça bloque.
J'espère que cette visite vous a plu !