La
troisième cloche. Il s'agit probablement de Joséphine.
Détail
sur une chaîne de volant.
Vue
de la flèche. Il n'existe aucun moyen pour y monter. Cette flèche
a subi une ajoute de structure métallique en poutres IPN. C'est probablement
lié à une réparation en profondeur de l'église. En
effet, dans le fond du comble de nef (au niveau de l'abside), on note une longue
fissure verticale, qui a été stabilisée, étançonnée
et instrumentée. Avec les réparations, ça ne bouge plus.
Les
poutres du beffroi sont toutes numérotées. Ce détail de charpentier
est magnifique.
Vue
sur le mouton de la seconde cloche.
Détail
du raccord des tirants sur les anses.
Détail
sur un marteau.
Les
cloches vues d'en haut... Au dessus du mouton, on voit les plaques qui permettent
de raccorder
les tirants au joug. Ces pièces métalliques s'appellent
des traverses.
Détail sur la dédicace d'Hubertine. C'est malheureusement
difficilement lisible.
Heureusement que le texte était mentionné dans le livre
de Fernand Vanvrekom.
Entrecroisement
de volants.
Nous
voici maintenant dans le comble de la nef.
Afin
de stabiliser la fissure verticale, on a installé de part et d'autres des
tirants.
On
voit bien que la charpente a été consolidée avec les poutres
IPN.
Détail
sur un tirant et sur le lattis. Ce lattis s'appelle lambris, mais ici il est vu
d'au-dessus.
Ici,
on se trouve au dessus de la nef latérale et à côté
de la voûte de la nef centrale. Une structure en tunnel aussi marquée
est assez peu fréquente. D'habitude, les espaces sont moins cloisonnés.
Ca donne un aspect tout à fait particulier qui donne un charme détonnant
à ce comble de nef.
L'escalier
qui a été installé afin de ne pas devoir marcher sur le lattis.
Nous
devons malheureusement partir... Pourtant, c'est un grenier magique, ça
fait penser aux compagnons charpentiers. On les sent pas si loin que ça
dans ce bel univers religieux.