Tchorski
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La fonderie de cloches Grassmayr (8

 


Une autre vue générale de la menuiserie, qui termine notre visite ici.

L'accordage


Il est possible de vérifier l'accordage des cloches selon différentes méthodes : les diapasons, l'accordeur électronique, le logiciel.


Les diapasons représentent la méthode traditionnelle, c'est en effet la plus ancienne.


L'accordeur électronique est une autre possibilité. Cet objet fut fréquemment utilisé jusqu'à ce qu'un
système informatique soit choisi.


Nous allons passer à un essai sur l'accordage.


L'accordeur donne un coup sur le diapason choisi à la note voulue. Il frappe le diapason, puis le pose sur la cloche. Elle entre alors en résonnance et elle émet l'harmonique recherchée. Si le diapason ne répond pas ou mal, ou prend la note au dessus, pour voir où l'on en est. En alésant par tournage, on peut descendre une note, mais on ne peut pas la monter.


Ici, Peter Grassmayr se trouve sur la fondamentale.

Vous pouvez écouter ce bol ci-dessous :

C'est fort impressionnant comme son !


En voici d'autres, plus lourds.


Ici, nous procédons à une analyse d'accordage avec un pc.


On voit la courbe sonore des trois coups qui ont été donnés.


L'accordeur fait un zoom vertical.


Il fait une sélection du son et ensuite, le passe à l'analyse.


Là, on voit bien les pointes des différentes harmoniques exprimées.


De la même manière, il est possible d'analyser par sonogramme. C'est selon ce qu'on préfère.


Voilà pour l'accordage. Regardons cette cloche de plus près.


La couronne est splendide.


Vue rapprochée du blason des Grassmayr.

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