Les traits noirs indiquent de précédents niveaux du
noyage.
C'est
dire combien l'eau a pu descendre en quelques dizaines d'années.
Cette mine est un esthétisme en rondeurs, les formes sont superbes.
Lorsqu'on arrive près de la voie ferrée, il y a ce grillage.
Il délimite le terrain de la SNCB.
Sous la voie ferrée, c'est entièrement remblayé
(pierres ou béton), ce afin d'éviter toute source d'effondrement.
En effet, une cloche de fontis serait inévitablement problématique.
Un bidon offre une jolie possibilité d'éclairage.
Vue sur le noyage depuis le quai des plongeurs.
La salle du Blaireau. Nous l'appelons ainsi parce qu'un jour, dans
la boue, nous avons trouvé
une empreinte massive de blaireau dans la boue, ça nous a bien
fait peur !
La transition entre deux quartiers d'exploitation.
Des piliers diabolo. Cette forme s'observe dans deux cas, soit les
piliers subissent une trop forte pression des terrains au dessus,
soit ils subissent des alternance de gels / dégels. Etant donné
qu'ils prennent une forme de diabolo (on peut aussi les appeler ainsi
en langage technique carrier), ils sont fragilisés. Ca rend
ce genre de quartier dangereux, on pourrait observer un effondrement
généralisé.
Le soir de retour.